L’hypnose régressive a été découverte majoritairement par des médecins comme le psychiatre Brian Weiss et le psychologue Michael newton.
Ils ont découvert cette méthode en accompagnant des patients dans le cadre de symptômes causant des phobies inexpliquées, des douleurs physiques donnant aucune explication du côté de la science. En demandant aux patients de régresser vers l’origine du traumatisme qui leur causait des symptômes, ils se sont aperçus que les patients régresser dans une mémoire qui ne ressemblait en rien à leurs vies actuelles.
De plus, en explorant cette mémoire et en mettant en lumière l’émotion qui se cachait derrière celle-ci, ils se sont rendu compte que les patients ressortaient de ces expériences hypnotiques apaisés parfois libérés.
On peut se poser la question si ces mémoires explorées sont des vies antérieures ou simultanées vu du point de vue de la physique quantique ? ou si ce sont des vies symboliques envoyées par l’inconscient à la conscience ? ou encore des mémoires transgénérationnelles engrammées dans nos cellules qui s’expriment ?
Après avoir accompagné plus de 1500 personnes en régression, j’en arrive à cette conclusion peu importe que l’on sache la nature de la mémoire, ce qui compte c’est la manière dont cela va impacter de façon positive la vie du consultant après la régression.
En effet, l’hypnose régressive peut apporter du soulagement psychologique et physique en fonction de l’intention de travail du consultant.
L’hypnose régressive peut aussi donner des indications sur la place du consultant dans sa famille, son chemin de vie, des orientations dans sa vie professionnelle etc.